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Présentation

Magnégné, c'est le joli nom exotique que portait notre première maison tropicale. Nous en étions très fiers jusqu'à ce que nous apprenions qu'il signifie "moche, mal fait" en shimaoré, la langue vernaculaire.

Ceci dit et cela étant, la parenthèse tropicale s'est refermée, certes à regret, et nous revoici dans notre maison provençale pour ce deuxième retour.
Mais en réalité, je ne sais plus trop si cette parenthèse vient de se refermer ou si une autre vient de s'ouvrir...
Comprenne qui pourra!

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Eclaircissement

Fruit de l'évolution de notre précédent journal en ligne, ce blog (quel vilain nom) perd la confidentialité à laquelle nous tenions, mais gagne en esthétique et fonctionnalité. Que chacun en fasse bon usage !

Les premiers articles étant réédités, les dates de publication peuvent être trompeuses.

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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 15:10

Evidemment, il est entendu que la Côte d'Azur concentre plus de millionnaires au kilomètre carré que la Creuse. Et alors ?

 

Côte d'Azur 056

Au prétexte que les riches sont riches - assurément, leur clôture a dû coûter beaucoup plus cher que ma maison pas si modeste que ça !, faudrait-il éviter comme la peste leurs aires de pêche et de jeux et leur abandonner le monopole du paradis terrestre ? Que serait devenue la péninsule du cap Ferrat, ce pâturage d'hiver au début du XXe siècle, si la Belle époque ne l'avait métamorphosée en Eden ? Ne serait-elle pas aujourd'hui couverte de barres de béton hideuses avec balcons sur la Grande bleue, comme à Mandelieu Cage-à-poules ?

 

Au risque de paraître "voyheurs" (un condensé de voyeurisme, de voyage et de bonnes heures), nous avons déambulé sans honte sur leurs terres, ou plutôt aux abords de leurs luxueuses villas désertées dès la fin de l'été. Nous leur en sommes d'ailleurs reconnaissants.  

 

Fort heureusement, certaines localités postées sur des portions de sentier du littoral azuréen ont conservé un charme délicat, comme Antibes ou Théoules.

 

Côte d'Azur 019Mais, pour bien entamer notre périple côtier, nous avons commencé par une halte et une randonnée mémorable avec Martine et François dans les gorges du Blavet qui nous en ont fait baver (les gorges, pas nos hôtes d'un jour, puisqu'elles étaient en crue). C'était aussi l'occasion de parler de Jacques le Franciscain. Comment va-t-il? 

 

 

Le prolongement de notre virée estivale dans la vallée des Merveilles nous a permis de redécouvrir son piémont maritime dans le calme de l'automne (voir la galerie photos). La pluie ne nous a d'ailleurs pas contrariés : elle a joué sa petite musique la nuit ou pendant notre visite du musée Picasso.Côte d'Azur 097

 

Et qui sait si le printemps ne nous verra pas arpenter de nouveaux sentiers envahis de mimosas en fleur ? Et comme j'ai reperé certaines destinations accessibles en kayak, il se peut bien que nous y revenions avant l'impossible été...

 

Paule et Mick...

 


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2 septembre 2012 7 02 /09 /septembre /2012 16:54

Après quelques désagréables péripéties sur un petit trimaran  habitable (Tricat 23) ramené pour cause d'affreux mal de mer, j'ai eu à coeur d'effacer ce cuisant échec avec notre kayak tout neuf qui nous a rappelé nos aventures mahoraises en compagnie de nos chers calamarades.

 

Le Brusc 144Autour du 15 août, nous avons réussi à obtenir une place au camping de la Pinède au Brusc, très bien sous tout rapport.

 

 

Le Brusc 010

 

 

La première randonnée s'est étirée entre l'anse Fabregas et la presqu'île de St Mandrier, avec une mise à l'eau et un parking des plus simples. 

 

 

 

 

   

 

Le Brusc 126La deuxième randonnée nous a conduits de la base nautique du Brusc à l'île des Embiez (île Ricard) et au Grand Rouveau.

 

 

 

 

 

 

 


 

Le Brusc-207Pour finir, nous sommes partis du port de la Ciotat, avec au programme le tour de l'Ile verte, la calanque de Figuerolle et les anses du Mugel, toutes trois bondées côté plage. Là, le kayak a montré toute son utilité : s'écarter du rivage sans subir la cohue et la promiscuité.

 

 

 


 

 

 

 

Le bilan est parfait : beau temps, mer limpide et chaude, paysages qui défilent, coût minimum, plaisir total, grâce à notamment à quelques détails précieux : bière fraîche et parasol à l'escale.

 

Voir aussi l'album photos complet en cliquant ici.

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17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 10:17

C'est ce qu'une amie, de retour d'un beau voyage en méditerranée, s'est exclamée tandis que nous feuilletions son très bel album-photos.


En fait, Cathy ne disposant que de quelques jours de congés, il me fallait réparer une injustice divine :  je lui avais promis que je l'emmènerais un jour dans la Vallée des Merveilles. Or nous avions déjà essayé cette destination en 2004, précocément tronquée par une panne de voiture à Vence. Pompe à eau en carafe, si j'ose dire, il nous avait fallu rentrer  bredouilles en taxi ! Vous imaginez la tête de Cathy et des enfants...

 

Ce 9 juillet, nous devions déposer Pierre à l'aéroport de Nice pour son départ en séjour linguistique à Brighton. Marine partait en Corse faire la plonge pour un camp d'adolescents de plongée, naturellement. Cécile, rentrée de Winnipeg via San Francisco (encore merci à Jacques pour l'avoir accueillie si gentiment) fêtait dans la Haute-Vienne le mariage d'une copine de Mayotte avant de filer sur Paris pour un remplacement d'été, tout en prospectant si possible pour un emploi à plus long terme. 

 

 Mercantour001Pour cette 2e édition, nous nous retrouvons donc en vieux couple de randonneurs. De Nice, nous sautons à Roquebrune-Cap Martin pour faire trempette. Nous sommes surpris de trouver des places de parking -gratuites et libres- juste le long de la courte plage. Nous avons dû précéder le gros des troupes de touristes azuréens.

 

Nous zigzaguons ensuite de Sospel à Tende à la recherche d'un camping. Celui de Fontan devient notre camp de base.

 


 

Mercantour024De là, une première excursion en altitude nous mène de Castérino à Fontanalbe et à la Voie sacrée, qui forme avec la Vallée des Merveilles deux sites  qui recueillent 40 000 gravures tracées après la dernière glaciation. Ce musée à ciel ouvert est magnifié par le paysage enchanteur. 

 

Le lendemain, nous décidons un  décrassage  musculaire autour du col de Tende. L'incursion en Italie commence sur le marché de Tende, ville française depuis 1858, où un marchand italien vend sans sourciller ses fruits et légumes piémontais dans sa langue natale. Plus d'un touriste étranger a dû y perdre son latin! Elle se poursuit malicieusement avec une autochtone de Limone-Piemonte qui me glisse pendant que je photographie son pittoresque village  : "Prendi scorze di Limone ?" - tu prends des épluchures de citron ? 

 

Nous faisons la tournée des forts construits sur la fontière du col de Tende. Je m'étonne que ces forts, construits par les Italiens après 1858, se trouvent sur le territoire français. Ils étaient à cette époque reliés à la vallée par un téléphérique. Cathy suggère que la frontière a été quelque peu déplacée en 1947, des bornes en béton datée de cette année-là ponctuent la crête. Ces forts sont aujourd'hui abandonnés, et si j'ai bien compris, sans propriétaire. Il paraît d'ailleurs que l'un d'eux pourrait bientôt devenir un restaurant. 


Mercantour065Seul le fort Pernante nous a échappé ; nous avons tourné autour sans le trouver! Pourtant nous l'avons photographié, aussi bien du col de Tende que depuis la baisse de Fontanalbe le lendemain. Assurément, je mérite l'enveloppe noire du jeu télévisé kin express...

 

La visite de l'intéressant musée des Merveilles à Tende s'impose à nous en complément des découvertes sur le terrain alpin, avec notamment la gravure emblématique du Chef de tribu.


 

 

 

Mercantour123Pour notre dernière randonnée alpestre, nous remontons la vallée de la Valmasque jusqu'au refuge. Nous égrenons le Lac Vert, le Lac Noir et le Lac de Basto. Nous grimpons jusqu'à  la baisse de Valmasque au milieu de bouquetins bigrement cornus mais peu farouches et de quelques chamois adorables. Si jusque là nous étions un peu déçus par le manque d'animaux observés : quelques marmottes furtives, un lointain bouquetin, un chamois qui a traversé la route devant la voiture, nous sommes ici récompensés de nos efforts à la porte de la vallée des Merveilles.

 


 

Mercantour136Comme il fait encore très beau, au lieu de rebrousser par le même chemin, transcendés par les paysages et la faune, nous optons pour un retour par la grimpette de la baisse de Fontanalbe, le refuge éponyme et le Lac des Grenouilles pour retrouver le parking au bout de Castérino.


Mercantour150Cathy, peut-être livrée à l'ivresse des montagnes, me propose l'ascension du Mont Bégo, juste à quelques centaines de mètres seulement, mais encore 300 mètres plus haut et sans chemin tracé, alors qu'il est déjà 16 h 30. "Du Mont Bégo, on voit la mer et la Corse, et il fait beau". Mais il nous reste trois bonnes heures de marche. Je refuse catégoriquement de prendre le risque de faire coucou à Marine depuis le balcon du Bégo.

 

Mercantour146 Sur ces hauteurs isolées que nous sommes les derniers à arpenter, je ne suis pas très rassuré après la perte du sentier au milieu des moraines. La vue d'une caserne abandonnée sur l'autre flanc de la crevasse au pied du Bégo nous ramène sur nos pas pour retrouver les traces du "sentier". Passé le refuge, la longue descente nous ramène tranquillement à la voiture. Cette excursion, malgré ses 18 kilomètres et ses 1200 m de montées cumulées, nous a comblés. Nous méritons sur cette étape l'amulette de Pékin express en effaçant la honte de l'épreuve du fort Pernante! 

 

Et pour finir, en retrouvant la côte, nous avons visité le beau musée Matisse à Nice, sans toutefois pouvoir atteindre la presqu'île de Villefranche que Cathy voulait parcourir à pied : ce week-end du 14 juillet avait littéralement bloqué le centre-ville. 

 

Cathy, promis, on reviendra... 

 

N.B. L'album-photos complet" la Haute vallée de la Roya" se consulte ici par un clic ou en marge  droite.



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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 19:54

 

J’adore les Pyrénéens.

Mes amis ariégeois au premier chef, assurément.

Mais aussi ces délicieuses gâteries chocolatées, fondantes, fraîches, et grasses à souhait, originaires de la région de Pau.

Justement, de St-Gaudens à Pau, la vue sur les sommets pyrénéens drapés de neige procure également de délicieuses sensations voisines de la dégustation de ces fameux chocolats. D’ailleurs, à mon avis, la vue alpine, quoiqu’impressionnante, n’embrasse pas cette vision majestueuse des monts pyrénéens qui s’étalent entre Catalogne et Pays basque.

Quant aux stations de ski dont nous avons dévalé les pentes - Luz Ardiden, Barèges, Cauterets-,  elles montrent la sagesse des Pyrénéens de ces Gaves : l’impact humain se limite, c’est bien assez,  aux remontées mécaniques car les commerces en tous genres se trouvent cantonnés au cœur des villages au fond de  la vallée et non pas au pied des pistes. La Mongie, au pied du Pic du Midi, puise au contraire son modèle dans les Alpes avec ses immeubles disgracieux.

Nous avions choisi les Pyrénées car nous étions la dernière zone scolaire en vacances, en décalage avec les autochtones. Quelle bonne idée ! Aucune attente aux pléthoriques télésièges, ni au seul tire-séant auquel nous avons confié notre fond de salopette d’ailleurs. Et la neige pyrénéenne, blanche et fraîche et pure à souhait grâce aux récentes chutes de flocons, nous a comblés.

Les versants pyrénéens se parent de ces charmantes cabanes de pierres et d’ardoises qui pousseraient l’indélicat voyageur à se reposer clandestinement en ces lieux. Les abris des pisteurs, parfaitement esthétiques, épousent également les formes de ces cabanes de berger.

Enfin, l’air pyrénéen revivifie. Et je le prouve. Je suis arrivé grippé et, loin de me reposer tout au long  de notre semaine sportive composée de ski de piste, de luge, de promenade en raquettes au col de Riou, j’ai pu participer en rentrant à ma première course à pied depuis le collège, et sans cracher mes poumons (6 kilomètres seulement, mais inutile de se moquer, merci).

Cliquer ici pour voir l'album "Pyreneen "

Luz (4)

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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 21:37

Rando nautique63Bien que ma candidature ait été retenue au niveau national pour un troisième séjour à Mayotte, mon grand chef ne m'y a pas autorisé: je ne serais pas assez resté dans mon département... Je comptais cette fois-ci acheter un petit trimaran pour m'initier à la voile.

Cette grande déception digérée, je n'ai pas renoncé au trimaran de poche dont j'avais rêvé: nous en avons loué un la semaine dernière au départ de Giens avec l'objectif de découvrir les îles d'Hyères. Une journée d'initiation et de prise en mains a tout de même été nécessaire au mois de juin, doublée de la lecture assidue du "Cours des Glénans" décliné sur plus de 600 pages.

Nous voici donc partis pour une nouvelle aventure, avec notre petit adolescent qui n'avait aucune envie de se joindre à nous sur un petit trimaran de six mètres au confort rustique: pas d'eau courante, un petit réchaud à gaz, pas d'électricité, des sachets en guise de toilettes, la tente plantée sur un trampoline, et les parents toujours sur le dos dans un studio flottant de 20 mètres carrés, terrasses comprises, mais avec vue sur mer à 360 degrés. Qu'à cela ne tienne, le fiston est plaisamment rentré dans le jeu du parfait coéquipier en partageant quelques joies simples et vivifiantes!

Notre périple de six nuits s'est échelonné de la presqu'île de Giens à Porquerolles (un mouillage à l'ouest, un près du port), deux nuits à Port-Cros avec un passage entre Port-Cros et l'île du Levant, et une dernière nuit à Porquerolles dans une crique bien protégée de la houle, impressionnante au demeurant pour les débutants que nous sommes. Heureusement, la météo favorable nous a bien facilité la tâche. A terre, Eric et Léna, promus au rang de techniciens délégués aux transmissions météorologiques, nous relayaient par SMS les dernières prévisions en fonction desquelles nous adaptions notre route et le mouillage. Un grand merci à eux!

Le bilan s'avère très positif : nous avons navigué essentiellement à la voile en ne consommant que quatre litres d'essence en une semaine, la petite famille a résisté au bouillon relationnel et aux montées d'adrénaline, notre pratique de la randonnée nautique prend forme  et l'envie de repartir l'an prochain avec un trimaran un peu plus convivial nous chatouille déjà (le "nôtre" ne permet pas de lever les genoux dans la couchette...).

 

L'album photos (en marge droite) traduit bien , je crois, le vécu de cette expérience.

 

 


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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 10:36
Pas de panique, il ne s'agit là que d'une incursion touristique à Mayotte.

Nous n'y croyions pas trop. Pourtant à la faveur de points accumulés lors de nos voyages aériens sur les lignes d'Air Austral, grâce à Marine et Pierre qui nous ont gentiment offert leurs points, nous serons officiellement en vacances sur le sol mahorais du 4 au 16 avril en profitant de la gratuité du billet d'avion (hors taxes d'aéroport
à notre charge, très élevées d'ailleurs).

Marine dont les amis de Mayotte  poursuivent  eux-mêmes leurs études en métropole ne nous envie pas trop. Elle a passé les fêtes de fin d'année avec une partie d'entre eux à Lyon et va d'ailleurs retrouver ces jours-ci un ami du lycée de Mamoudzou à Rouen, après une escale parisienne chez Cécile.


Pierre se réjouit de nous voir partir : il trouvera facilement un asile où les règles de vie sont moins strictes pour lui.


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24 janvier 2010 7 24 /01 /janvier /2010 20:40

Après avoir bu hier en famille le magnifique Invictus, déclencheur pour nous d’émotions, en images et en musique (Shosholoza), partagées avec Cécile lors de notre voyage en Afrique du Sud, nous avons fini la soirée chez Mac Do, notre dernier Mac Do datant de juillet 2006…

 

Fini, pas tout à fait, parce qu’en rentrant, Pierre s’est couché tôt afin d’être en forme aujourd’hui pour les championnats départementaux de cross. Aussitôt couché, il a vomi ses frites fades et ses fades beignets de poulet sur ses habits et chaussures jetés devant le lit. Je me suis tapé le nettoyage d’urgence (évacuation des vêtements, balayage à la sciure de bois, puis avec des cendres et coup de serpillère) pendant qu’il poursuivait sa nuit dans le lit de Cécile. Et ce matin, Cathy finit de renettoyer autour du lit, dans le tiroir, lave les effets de Pierre au lieu d’être aux petits soins pour moi puisque aujourd’hui c’est mon anniversaire.

 

Morale n°1 : Faut choisir : s’adonner progressivement à Mc Do pour désensibiliser son estomac ou aller chez Mac Donald’s une fois par Olympiade, histoire d’en oublier le goût et laisser agir le mythe.

Morale n°2 : faut pas laisser traîner ses affaires au pied du lit.

Morale n° 3 : Si Pierre rate sa course aujourd’hui, je porte plainte contre Mac Do.

Epilogue en images

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et en mots, la parole revenant à Ben: : Croyez-moi, connaissant bien Mac Do, je suis certain que la chaîne américaine sera heureuse de prendre en photo ta progéniture pour en faire une pub du genre : "Pierre a dégusté un menu Big Mac avant son championnat. Il est aujourd'hui champion du département."


 

 

 

 

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6 décembre 2009 7 06 /12 /décembre /2009 08:08


Un peu à la demande de Ben, qui est peut-être le seul à s'enquérir de la mise en léthargie de ce blog, en pensant notamment à "Tati Monique" qui a couru avec Pierre sur les plages mahoraises, à Claude qui l'encourageait,  à Jean-Jacques qui a été puni d'un sévère claquage au départ d'un sprint (pardon pour l'anglicisme, je n'ai rien trouvé d'autre) face à Pierre sur la plage de Karoni, en remerciement à Françoise qui a donné des conseils sportifs avisés à Pierre et Marine.

Par ailleurs, il est aussi qualifié avec l'équipe de son collège pour participer mercredi prochain au cross régional de l'UNSS (sport scolaire et universitaire) à Marseille.

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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 10:47

Ben a résisté à l'année de séparation érasmusiennne provoquée par Cécile et a échappé à l'issue fatale de "L'auberge espagnole".

Le voici en face à face avec Cécile, sur les "fauteuils de vieux", comme il dit (sur mon fauteuil, en fait!).
En arrière-plan, Cathy.

Mais quelles sont donc les pensées secrètes des uns et des autres ?

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10 octobre 2009 6 10 /10 /octobre /2009 18:08

Pierre a retrouvé son ancien club d'athlétisme, en catégorie benjamins première année. Pour l'ouverture des compétitions, il s'est confrontré à des benjamins première et deuxième année. Cette quatrième place obtenue au prix d'une belle course le  satisfait, et nous avec !

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